Echanges et retours d’expérience autour du CEPI: a dialogue between Gerard and Michel

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- Donc tu introduisais tout à l’heure hors micro, la notion de nomade pour ne pas dire nomadisme et, tu disais que c’était l’état même de l’improvisation. Je dirais plutôt que ç’est plus l’état de l’improvisateur que celui de cette pratique, parce qu’on a toujours besoin d’un toit, besoin d’un endroit ou … en tout cas de rassemblements, d’un territoire au sens ouvert quoi, même si c’est un bois ou un pré, on a besoin d’un territoire. Mais c’est vrai que les individus, l’improvisateur a cette qualité je crois, de nomadisme.

 

- Pour reprendre cette idée d’un centre nomade, quand le CEPI a été mis en place, il a été question qu’un centre soit construit sur l’ancien village de Puget et que tout s’organise à cet endroit là. Il y avait une logique, une cohérence qui apportaient cet ancrage territorial. Mais quand est arrivé la décision des institutions de ne pas construire …

 

- Oui oui ...

 

- Cette idée qu’un centre puisse être nomade, c’est à dire toujours déplacé par rapport à lui même, m’a bien plu … il n’est pas ciblé comme tel, il doit se faire à chaque fois. J’aimais bien cette idée que ce centre se fasse à chaque fois. Bon évidemment cela pose plein d’autres questions, c’est beaucoup plus lourd à organiser, plus dur à trouver …  cette idée de centre nomade me plaisait bien malgré sa lourdeur à gérer. Mais du coup la possibilité d’aller au centre d’improvisation pour rencontrer des improvisateurs à tout moment disparaissait … La question du deux resurgit avec le CEPI, avoir cette tension entre un lieu ancré dans un territoire et des projets nomades ; que ce centre aille à la rencontre d’un territoire en organisant ces temps d’improvisation …

 

- Il semble effectivement que la limite pour l’organisation c’est la limite de la structure qui accueille et, on a vu à partir du dernier CEPI, comment la structure chez Franck et Patricia permet un accueil assez important, avec les possibilités d’avoir plusieurs salles dans le village, a fait dire tout à coup à tout le monde « Ah on revient l’année prochaine » … et donc cet élan est très parlant, cela veut dire qu’il y a besoin d’un endroit référent, c’est assez évident. Maintenant ils n’étaient certainement pas préparés à faire face à toute l’organisation que cela représente. C’est pour cela que le centre nomade ou l’organisation nomade doit aussi se répartir dans les fonctions, il faut que certains de nous prennent en charge certaines choses quoi … et puis, somme toute, la limite du nombre, on est obligé de dire, et c’est pour cela que j’avais insisté l’an passé en disant «  je ne viendrai pas à la session 2020, quelqu’un viendra à ma place ». Cette année c’est toi qui ira, parce que si chacun qui est là veut revenir on n’est plus du tout dans l’idée de la circulation, puisque de toute façon on est limité et on n’a pas la possibilité d’ouvrir vers d’autres, ce qui est quand même le plus important

 

- Par contre je ne pense pas que les personnes présentes voulaient que le CEPI s’enracine là , chez Patricia et Franck, mais ce lieu, offrant des possibilités d’organisations importantes, permet beaucoup de choses et c’est une force ..

 

- Il y a une vraie structure, on a affaire à des gens qui ont une grande expérience de l’accueil et qui savent vraiment l’organiser, car ce n’est pas évident, car c’est un accueil artistique et logistique, cela veut dire manger, se rassembler, ces moments là sont très importants aussi, ces moments de partage de repas et puis loger décemment les personnes, trouver des endroits pour dormir et c’est sûr que Patricia et Franck qui sont des professionnels de l’accueil semblaient tout à coup désignés fortement pour continuer. Ils ont dit « d’accord pour cette année à venir » mais et après …? Est-ce que cela s’institue chez eux ou bien trouver d’autres structures ?… je ne sais pas …?

 

- Nous ne sommes plus avec cette idée de construire le CEPI sur des anciennes ruines, je ne serais pas forcément pour que le CEPI, maintenant s’installe quelque part, même si c’est pratique … si c’est le cas, il faudrait que surgissent, s’organisent et se multiplient de plus petites rencontres du CEPI (comme les rencontres organisées en Italie, en Allemagne ou même comme celles faite aux Céphéides … et bien d’autres ). Comment individuellement faire exister le CEPI à travers des projets plus légers dans son organisation ?

 

- Mais disons, si l’on prend le CEPI dans sa vision première, comme Barre l’a projeté, la partie de transmission c’est à dire en dehors de la pratique est fondamentale. A savoir, les conférences, qui l’an passé ont été aussi des ateliers et parfois des ateliers qui étaient liés à la thématique de la conférence et, c’est vrai que c’est une chose qui a été partagée par beaucoup de monde. Cela a donné une proportion à la pratique moindre, d’une certaine façon, en tout cas plus cadrée, avec moins de possibilité de … même s’il y a toujours  des lignes de fuites, moi j’ai été le premier à en organiser … et, finalement on a étendu l’espace avec ces propositions de faire des choses le matin très tôt … on s’est aussi accaparé l’espace temps, obligé puisque, voilà … ce qui était intéressant c’est que c’est devenu un mode extensible … tout a un peu trouvé sa place là dedans …

 

- Je n’étais pas là l’année dernière … la question des ateliers et des conférences, je ne sais … je suis pour qu’il y ait cet espace conférence, mais je ne m’y retrouve pas pour l’instant dans les conférences qui ont pu avoir lieu … ne parlant pas anglais, je suis peut-être passé à côté de certains moments … la question des conférences ne met pas la parole dans le même engagement que nos pratiques … la conférence est là pour que quelques uns parlent sur les « petits trucs » qu’ils trouvent pour organiser l’improvisation. Ce qui déjà n’est plus de l’improvisation en temps que telle … les conférences n’ont pas la force, peut-être est-ce compliqué de trouver des intervenants qui par la parole traiteraient cette question de « l’ici et maintenant » ici et maintenant … pour éviter d’avoir d’un côté un semblant d’intello et nous les pratiquants de l’autre côté … c’est à dire que cette approche par la pensée peut creuser et engager cette question de l’improvisation autant que nous pouvons le faire avec le son … comment ce dire : engage et suspend l’instant comme présence … alors que principalement jusqu’à présent les conférences se développent autours de critères pour donner un cadre à l’improvisation … c’est pourquoi la question conférence-atelier me laisse plutôt distant, je trouve que l’improvisation cadrée par des critères ou autres systèmes imposés par quelqu’un, amoindrit, voire annule la force de l’improvisation comme présence(s) avec toutes ses tensions que suppose l’être là comme écoute agissante … que des improvisateurs se donnent pour eux-même des règles, lors d’une rencontre, ne me gêne pas car ils sont libres de la porter, de la confronter ou de la quitter suivant ce qui se passe … mais delà à imposer aux autres ces règles … je ne sais pas … je ne suis même pas certain qu’il y en ait besoin, de règles, pour les improvisateurs qui commencent, qu’il y ait des moments où l’on pointe des approches ou suggestions … oui pourquoi pas, mais la difficulté est de toujours garder le sujet ouvert, ce sujet qui implique et s’implique à partir de sa propre forêt et donc celle des autres … alors que l’atelier avec ses règles à tendance à réduire le champ des …

 

- Oui d’autant que c’est, que cela peut même m’apparaître contradictoire parce que tel que Barre à commencer en invitant des gens justement qui ont des approches de l’improvisation à titre individuel très spécifique, très différente, de faire en sorte qu’ils jouent ensembles, et bien toutes ces questions là se posent automatiquement. Les différentes approches, les différentes conceptions, les différentes pensées, les différentes façons de vivre l’improvisation, elles sont là en effet. Et c’est sûr que la forme d’atelier est une forme éducative, pédagogique qui pour moi est une sorte de glissement de terrain. Tu vois tu parlais de la forêt et du coup on a coupé les arbres et le terrain qui glisse un peu. parce que je crois au contraire à la confrontation. Car cela peut-être des fois confrontations entre des gens qui ont une esthétique, approche ou façon de vivre l’improvisation de manière différente et, c’est suffisamment fort et unique en soi. Parce que on est plutôt aimanté vers des gens qui … euh … voilà, il y a des sortes de partage de point de vue sur l’improvisation. Mais là on se retrouve tout à coup avec des gens très différents qui travaillent ensemble et, pour moi, c’est une des grandes clés du CEPI … après tu peux dire aux gens, moi je vois les choses comme cela, allez on essaie tous ensemble de le faire comme cela … eummmoui … j’ai pas l’impression que je suis … que j’ai envie de faire cela. Je préfère au contraire que cela opère dans un chaos apparent mais qui est très générateur de questions, de mouvements, de frottements aussi, c’est très important et j’ai vraiment aimé le CEPI depuis toujours parce que cela, ces différences là, et qu’il fallait y être, être présent à ces différences

 

- C’est cela qui est intéressant, c’est cette présence là, comment tous ensembles avec nos trajectoires, nos pensées, nos vibrations différentes, on frictionne ces instants … pour revenir aux conférences que j’ai pu entendre, les exemples pris pour modèles parlaient d’improvisation à des fins autres qu’un moment d’improvisation … eeeet … je pense qu’il n’y a pas d’exemple, comme il n’y a pas d’erreur en improvisation … il n’y a pas d’exemple au sens ou à chaque fois on est là, à chaque fois cela commence et la pensée particulière que l’on a en improvisation elle se vit, se confronte, se déploie et se déplace dans la pratique elle même et non à vouloir la proposer, l’imposer comme modèle … imagine lors d’une table ronde, l’un dit : voilà comme je pense et, nous allons tous discuter avec ce filtre, ce mode de penser … et … accepterait-on ?  …. discours, justification des critères … dans ce contexte la difficulté avec les mots explicateurs c’est leurs effets réducteurs … alors que les mots sont des carrefours, des espaces, il a une puissance d’écartement, de déplacement, d’éclatement … autant que les sons, ils trouent l’instant … donc conférence avec atelier qui suit, pour moi c’est pas …

 

- Non, c’est pour cela, il y a une question qui peut se poser aussi, puisque de toute façon ce besoin  ou cette envie peut être aussi majoritaire et partagée par beaucoup de personnes, c’est la possibilité d’avoir une sorte de parallélisme dans les propositions. La question qui se poserait, c’est comment peut-on aussi préserver la possibilité d’avoir des espaces libres ?Donc cela renvoie à l’occupation des locaux, cela renvoie à une multiplicité des lieux, comment avoir des espaces ? Comment dire : voilà, nous ce que l’on propose, c’est d’ouvrir la porte et faire l’expérience de l’improvisation avec qui veut venir. Ça, je l’ai vécu dans les sessions du matin avec vraiment du monde qui venait sans automatiquement s’inscrire et même, ils venaient pendant, ce qui était possible car chaque séance durait deux heures … j’ai trouvé que cela ouvrait un espace qui était important, qui faisait comme un feu qui couvait après toute la journée, on pouvait alimenter avec du bois là-dessus, c’était important.

 

- Cette session à 7 heure du matin s’est mise en place il y a deux ans, (le CEPI avec les Suisses) … la journée n’a pas encore commencé et on attaque par une session …

 

- Oui, oui, c’est cela …

 

- Ça commence par ça, alors que tu es à peine réveillé, ce quelque chose qui va nourrir cette journée, c’est un temps très particulier. Après, il y avait une conférence assez courte et on reprenait très vite un temps de pratique. Cette dynamique d’un temps à l’autre, cette dynamique des passages …      

 

- oui, oui voilà …

Alors que l’an dernier, effectivement la journée était très occupée par atelier et un peu comme application … enfin travailler avec les gens qui avaient fait la conférence. Donc on se retrouvait avec un créneau d’horaire qui était beaucoup plus limité … mis à part la fin d’après-midi et les soirées … mais les soirées amènent un peu un état de représentation, que j’ai trouvé un peu démonstratif et artificiel quelque part … je sais pas … c’est autre chose ; d’autant quand il n’y a pas vraiment de public. Quand il y a vraiment du public, bon Ok on fait un truc public; il se passe quelque chose avec le public, donc … peut-être qu’il faut organiser différemment … mais euh, il y a beaucoup de cadres … mais bon la majorité des gens étaient ravis et demandaient plus à aller vers cela, je crois, que de se retrouver dans des rencontres, plus comme un chantier que l’on appelait nous dans le temps, des « chantiers d’arts provisoires » … les choses se faisaient se défaisaient en permanence sans automatiquement en parler, dire ou signifier.

 

- Ne pas en parler de suite, cela nourrit intérieurement … on peut en parler mais un peu plus tard …

 

- On a besoin d’un temps, je suis d’accord …

 

- Ne pas en parler tout de suite tu laisses exister tout ce qui …

 

- Une résonance, un temps de résonance … exactement.

 

- Laisser du temps … tu vis avec, alors qu’en parler de suite, tu extériorises, tu viens brouiller, ça bruite … tu effaces un peu ce qui pourrait nous travailler, circuler … c’est bien de laisser en suspend …

 

- Finalement cela serait intéressant comme on a ouvert la session le matin d’ouvrir un temps de résonance, où on se retrouve dans un espace après avoir improvisé, vécu quelque chose, on ne dit rien, on reste là et puis peut-être il y a une réflexion de quelqu’un et cela augure une discussion. C’est vrai, que moi cela m’a manqué, bon c’est 3 jours. Il y a beaucoup de monde, qu’il y a un rapport social inévitable … on parle des musiciens, mais les danseurs ont une autre façon de vivre les choses, ils sont beaucoup plus habitués à aller dans les ateliers, se retrouver dans des formations … l’ensemble des musiciens sont plus sauvages dans ce sens là, ils sont plus individualisés, plus individuels. Mais moi en tant que … 

 

- Ça j’entends, ils décident, à un moment donné de suivre un atelier dirigé par untel, pourquoi pas aller découvrir individuellement le travail ou la proposition d’un autre à travers un atelier. En musique on n’a pas vraiment cette logique … Après là, le CEPI c’est un contexte pour l’improvisation et je m’y retrouve pleinement dans les temps de pratique mais pas vraiment dans ces temps de soit-disant théorisation de l’improvisation, c’est toujours l’établissement d’un système, d’un ensemble de critères … jusqu’à présent l’improvisation libre s’est toujours retrouvée absente des propos, alors que c’est là ,dans ce pratiquer, ce vivre ensemble, que l’instant met en jeu notre présence dans tout ce que cela engage … (ou comme dirait Barre « l’esprit de la musique ») … et dans ces temps de conférences la parole se retrouve figée, ramenant toujours à des critères ou une utilisation de l’improvisation et non …

 

- Oui, moi j’ai pas suivi … tous les ateliers, j’en ai suivi aucun je dois dire … on a fait un festival off dans l’église, l’an dernier, ou bien dans la rue, on est sorti dans le village, le temps le permettait, c’était un très bon terrain de jeu, c’était assez chouette de faire cela …  Bon, je veux bien écouter un point de vue, une approche sur l’improvisation, pourquoi pas, même si jusqu’à présent je n’ai pas trouvé mon compte … mais bon, après tout pourquoi pas, que quelqu’un prenne la parole pendant 1h1/2. Mais ça manque un peu de circulation aussi, l’espace d’échange après est très réduit, comme les sujets sont un peu longs cela manque de temps de paroles, de partages, de questionnements … mais bon … cela me fait dire, on est nombreux, finalement il y a peu de temps et puis plusieurs chose à faire, jouer, faire des conférences, faire des ateliers, il y a encore jouer, il y a manger, il y a ce moment social etc… donc c’est très compact …

 

- C’est vraiment dans le troisième CEPI, le quatrième je ne peux pas en parler, j’ai trouvé, qu’il y avait une dynamique, une circulation des instants qui s’enrichissaient les uns les autres …

 

- Oui oui moi je trouvais aussi …

 

- Surtout cela ne veut pas dire qu’il faut refaire, reproduire la même chose, mais être attentif à cette circulation, cette dynamique …

 

- Non non … l’année dernière il n’y avait pas de dynamique comme cela spontanée, d’échanges … non non. Mais est-ce que cela pourrait être des journées parallèles, peut-être, il pourrait y avoir deux circuits parallèles ceux qui improvisent et ceux qui organisent l’improvisation … on n’est pas les uns contre les autres, on est en totale solidarité, je suis totalement solidaire avec ces besoins et ces idées là. Pour certaines personnes cela fait partie de leurs désirs, de leurs besoins … Mais une fois de plus la nuance est sur le territoire, sur l’espace que l’on peut avoir, il a fait beau, on a pu aller dehors, s’il avait flotté on ne pouvait rien faire dehors … alors que là …

Après l’autre question, c’était un peu cela le début de notre second sujet, de faire des CEPI en dehors de ce moment, c’est sûr mais ils ne pourront pas avoir le caractère aussi plein et aussi complet. Si on accueille quinze-vingt personnes, comme ici aux Céphéides, au lieu d’une conférence on peu organiser une discussion table-ronde, cela peut être possible. Mais on peut pas avoir la structure pleine et complète du CEPI annuel.

 

- C’est bien qu’il y ait des formes différentes, je suis assez pour que des petites formes nourrissent …

 

- Encore faut-il jouer le jeu et inviter des gens que l’on ne connait pas et trouver leur désir de venir, quoi, parce que c’est sûr que le gros CEPI il est attractif aussi, parce que Barre Phillips est là, parce qu’il y a une structure qui se met en place autour … mais si nous on propose cela … c’est plus difficile de faire venir des gens, de vrais étrangers.

 

- Faire exister ces petites formes c’est aussi un état d’esprit, c’est pas faire un CEPI en plus petit, mais sentir que c’est dans la même veine …

 

- Je suis d’accord, mais cette même veine est essentiellement pour moi de convoquer des gens de parcours différents et des gens que l’on va rencontrer et que l’on ne connait pas. Et c’est le point le plus complexe, parce qu’il faut payer et que les gens payent de leur poche. C’est ça le truc.

 

- C’est une question intéressante, qu’il n’y ait pas forcément de subventions …

 

- Ah oui ! C’est ce que j’ai dit à la réunion, que chacun d’entre nous soit le producteur du CEPI … Espérons que Patricia et Franck n’ont pas perdu d’argent …

 

- Une bonne partie de la lourdeur de ces rencontres, c’est vraiment ce qui est annexe, ce qui est en périphérie de nos pratiques qui …

 

- C’est toujours important, quand tu réunis des danseurs, musiciens, la première question c’est : où ? Cette contrainte là est très déterminante, c’est pourquoi il y a cette sorte d’opposition entre le nomade et le lieu fixe, c’est pas une opposition, le nomade à toujours besoin d’un territoire …

 

- Oui oui …

 

- Même s’il est mouvant, il a toujours besoin d’un territoire …

 

- Mais une petite forme est plus dans la notion de la traversée et quinze personne c’est plus facile à organiser, que là … plus de 50 personnes …

 

- Oui, oui, plus les voyages etc…



Echanges et retours d’expérience autour du CEPI avec Michel Doneda et Gérard Fabbiani, janvier 2020;

Last modification: Fri 7 Feb 2020